In girum imus nocte et consumimur igni

Une recension de Alexandre Lacroix, publié le

Il y a peut-être un lien certains concerts punks et ce texte âpre, écrit pour être lu en voix off d’un film du même nom : l’idée est d’injurier copieusement les lecteurs, en leur faisant prendre conscience de leur esclavage. « Ils ressemblent beaucoup aux esclaves, parce qu'ils sont parqués en masse, et à l'étroit, dans de mauvaises bâtisses malsaines et lugubres ; mal nourris d'une alimentation polluée et sans goût ; mal soignés dans leurs maladies toujours renouvelées ; continuellement et mesquinement surveillés…. » Certains quittent la salle, d’autres en redemandent.

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