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À la suite de violences entre mineurs, les éducateurs du centre éducatif renforcé de L’Étang-Vergy privilégient la médiation et le dialogue, ce qui n'empêche pas les victimes de porter plainte et les auteurs d’être jugés ou transférés ailleurs. © Arnaud Finistre/ Hans Lucas pour PM

Dossier / “Y a-t-il des bons et des méchants ?”

Graines de non-violence

Charles Perragin publié le 30 novembre 2023 10 min

Le centre éducatif renforcé de L’Étang-Vergy, en Côte-d’Or, accueille des jeunes délinquants pendant des périodes de quatre mois et demi. Ici, plutôt que le rapport de force, les éducateurs et psychologues privilégient les liens affectifs pour donner de nouveaux repères à ces adolescents.

 

Haraël a débarqué ici il y a trois mois. Quelques fringues en tas au pied du mur nu séparent un coin de pièce du lit. En août dernier, le tribunal pour enfants de Caen le reconnaît coupable de vols. Le jour même, l’adolescent atterrit au centre éducatif renforcé (CER) de L’Étang-Vergy, une bâtisse isolée face aux vignes, nichée sur un val bourguignon à plus de cinq cents kilomètres de chez lui. Il pose ses affaires dans la chambre numéro 2, face à ce store qui filtre cette lumière grise et douce, complice des solitudes. « Bien sûr que j’ai trouvé ça injuste », lâche l’adolescent aux yeux bleus écarquillés. « J’ai fait qu’encaisser les coups et à la fin, c’est moi qu’on punit. »

Tout jeune, pour « l’endurcir », son père le force à se battre contre son grand frère. « Et il me tapait après parce que je perdais. » Haraël a 9 ans quand son père quitte la maison sans plus donner de nouvelles. Plus tard, un nouveau conjoint arrive, également « violent et haineux ». « J’ai toujours détesté la violence. Je craque rarement mais quand ça arrive… Ma mère a voulu que je voie un psy qui n’a pas tardé à nous mettre les services sociaux sur le dos. » Le calvaire continue : placé en foyer, il cohabite avec des jeunes « ultra-violents », puis, un soir de permission de Noël, son beau-père le passe à tabac. « J’ai cru crever. Quand les gars m’ont vu au foyer, ils m’ont fait fumer un joint pour calmer la douleur. Je suis devenu accro : j’étais déconnecté, sur un nuage, c’était ma bulle. » Alors, pour se payer ses pochons, Haraël vole, notamment des voitures. « Au foyer, j’avais l’impression qu’on me mettait dans le même sac que des délinquants violents. C’était insupportable, j’étais pas comme eux. En même temps, voler était tellement ordinaire là-bas que quand j’ai commencé, j’avais pas l’impression de faire du mal. Je me disais : on vole les riches, c’est pas grave. »

 

Rompre avec son milieu

De l’étage des chambres individuelles à la pièce commune du rez-de-chaussée, notre guide s’appelle Idriss Wassingou, père de famille d’origine congolaise à la barbe bien fournie. « Les portes doivent être toutes fermées, c’est la règle », précise celui qui est l’un des sept éducateurs du centre, entre deux tours de clé. Ici, les mineurs ne sont pas cependant en prison. La grille extérieure est surtout dissuasive. « Depuis quelques mois, nous n’avons eu qu’une tentative de fugue. Ces structures sont loin des villes, loin de chez eux, cela les décourage. Cet éloignement, c’est surtout pour les soustraire à leur milieu, qu’il y ait une vraie rupture dans leurs habitudes. En général, ils n’ont connu que les quartiers et ses codes, le respect du plus fort, de celui qui a vendu le plus de drogue, du plus gros délinquant. Là, c’est la campagne. Ils font de la randonnée et du vélo. »

Dans la philosophie du centre éducatif, il y a cette idée que l’enfant n’est jamais mauvais, que c’est l’environnement qui dégrade ou répare. Plus encore, l’idée que la ville corrompt quand la nature soigne. Les deux sessions annuelles durent quatre mois et demi et accueillent sept jeunes – âgés de 14 à 18 ans –, des mineurs délinquants multirécidivistes – vols, trafics, violences – en grande difficulté ou en voie de marginalisation. Les cinquante CER du pays sont souvent présentés comme une dernière chance avant l’incarcération. Le séjour doit leur permettre d’abord de rompre avec leur « milieu naturel » à tous les niveaux avant de les « remobiliser » vers l’apprentissage ou l’emploi. Les jours sont rythmés par les heures fixes du lever, du coucher et des trois repas. L’accès au téléphone et à Internet est très limité. Le programme mélange des activités sportives en plein air, des stages dans des entreprises locales – de l’exploitation agricole au garage du coin –, des ateliers de théâtre centrés sur les orientations sexuelles et des « chantiers éducatifs et citoyens » où les jeunes repeignent les grilles du cimetière comme ils déneigent le centre d’accueil pour personnes handicapées.

« L’histoire de la justice des enfants a été marquée par des institutions très dures, comme les bagnes ou les maisons de correction. Quand les CER ont été créés en 1996, cela a réveillé des craintes », rappelle Christophe Gomes, de la direction territoriale de la protection judiciaire de la jeunesse. Aujourd’hui, la justice des mineurs repose sur la protection, l’éducation, et tente de dépasser l’ancienne logique du dressage où l’enfant n’a le droit que de se taire et d’obéir à l’ordre, de s’y conformer. Aujourd’hui, le Code de la justice pénale des mineurs (entré en vigueur en 2021) garde encore les traces d’un idéal de mise en conformité avec l’ordre du bien, comme dans son article 11-2 : « Les décisions prises à l’égard des mineurs tendent à leur relèvement éducatif et moral. » Christophe Gomes poursuit : « Cela donne l’idée que ces jeunes sont comme du bois tordu qu’il faudrait redresser. Il y a d’autres obsessions : l’insertion, l’activité permanente, le moins d’oisiveté possible. Ne perdons pas de vue que le plus important se joue dans la relation avec les éducateurs. Ici, on leur montre souvent pour la première fois des adultes fiables, gentils, alors que, bien souvent, ils ont souffert de mauvaises relations avec des gens irresponsables et mesquins. »

 

La fin du « grand frère »

Dans le discours des éducateurs ressort l’idée que le sentiment moral se fonde dans notre expérience de l’altérité. Si l’enfant n’a connu que des adultes défaillants, c’est le monde comme l’identité personnelle qui sont affectées par un sentiment d’insécurité. Tous les humains sont perçus comme nécessairement faibles ou mauvais, ce qui empêche la confiance, l’action morale et l’estime de soi. Ainsi, le champ moral se réduit-il au mieux à un « nous » atrophié : la maman, le petit frère, quelques amis. Selon Kant, la raison universelle fonde une morale où l’individu se réfère à l’humanité. Mais pour ces enfants abîmés par des milieux familiaux instables, violents et précaires, ce lien à une humanité digne de morale est à construire. « Nous ne pouvons pas leur tenir un discours moral s’ils n’ont pas instauré avec nous un lien affectif », professe Idriss Wassingou, lunettes de vue modèle « aviateur » sur le nez. « Pas de cadre sans liens. C’est pour cela que, dès le début de la session, nous partons marcher pendant dix jours dans la nature. Ils s’habituent dans le temps long de l’effort à la présence de personnes honnêtes, loyales, bienveillantes », premières briques d’un nouveau monde humain respectable et digne de morale. Et cet appel de la bonne action ne naît pas d’une révélation métaphysique : « Au fond, si le lien établi est fort, ils vont chercher à s’identifier, à se retrouver dans tel ou tel éducateur. »

© Arnaud Finistre pour PM
Pour une bonne action ou un travail bien fait, les équipes valorisent et récompensent (connexion Internet, accès à la salle de jeu) au maximum des jeunes sans cesse assignés à l’échec. © Arnaud Finistre pour PM

Il y a trois ans, Najid Ghorzi, directeur du CER géré par l’association Acodège habilitée par la protection judiciaire de la jeunesse, opère un changement stratégique. « Nous sommes sortis du concept du grand frère avec des éducateurs qui avaient la culture du quartier. C’était la loi du mâle dominant, du rapport de force permanent avec les jeunes sans droit à l’erreur. Cela générait beaucoup de violences et de fugues. » Il décide alors de recruter d’autres profils, des professionnels plus attentionnés, ressemblant davantage à des parents. « C’est pas facile de cultiver la collaboration quand vous vous retrouvez face à un gamin agressif, dans le repli ou qui n’en fait qu’à sa tête. Mais les résultats sont là : moins de fugues et moins de bagarres. »

Fehmi ben Redjeb est l’une de ces recrues. En ce moment, c’est la semaine de stage. Juste avant de conduire deux jeunes à la station-service du coin où ils sont affectés à la caisse et à la mise en rayon, il signe tout un tas de paperasses. « Pour qu’eux fassent un pas, nous en faisons dix. L’essentiel de ce qu’on leur transmet, c’est simplement de respecter les gens. » Et le cercle de la considération morale a parfois du mal à s’élargir, notamment « aux autres orientations sexuelles comme aux autres communautés d’appartenance. Ils disent : “Je suis de telle origine, je te parle pas.” On essaie de casser ça. Faut pas être dans la réaction brusque, mais être patient, les laisser seuls et saisir le bon moment pour parler, faire de la médiation entre eux. » Le jugement moral n’est jamais une sentence immédiate et brutale mais reste indissociable de la conscientisation de la relation. « Je leur dis : je ne cautionne pas, c’est irrespectueux. Là, je suis au travail mais je suis un être à part entière rempli d’émotions. Et tout ce que je vis, je le porte tout le temps, ici ou chez moi. Tu comprends ? » Idriss Wassingou enchaîne : « Hier, j’en ai un qui s’est battu. Il est venu me voir après un moment dans la cuisine pour m’aider comme si de rien n’était. Je lui ai dit non, que je ne voulais pas le voir. Je lui fais la tête. Je vois que ça le perturbe. Alors il est revenu et m’a présenté ses excuses. Puis on a discuté. »

 

Réagir au rejet

Enfoncé dans un fauteuil à côté de la salle de ping-pong, Abdoulail, vêtu du maillot du Bayern Munich, regarde dans le vide. « Honnêtement, tout me soûle ici. Je fais les activités, le taf, mais j’attends juste que ça passe. » À 9 ans, il débarque de Mayotte avec sa mère et sa fratrie pour fuir un père violent. La famille erre de Paris à Mâcon, en passant par Poitiers et Marseille, squattant chez des tantes ou des cousins, le plus souvent pour quelques mois. Dès 11 ans, il commence à dealer. En cinq ans, il est jugé sept fois, passe par du sursis ou des travaux d’intérêt général avant d’être placé ici. « Tout ça ne change rien. J’ai grandi dans la matrice, le trafic, les règlements de compte, j’ai tout fait, j’ai même pas peur de mourir. Et je vais pas vous mentir, tout ça, je l’ai fait pour l’argent. » Au début, Abdoulail était « plutôt soulagé » d’être placé pour quelques mois quand son cousin majeur et compagnon d’infortune a pris quatre ans ferme. « Ma mère est malade, et le fait d’être enfermé ici, ça m’a vite rendu dingue. Parfois, j’avais envie de tout casser, c’était incontrôlable. »

“Leur expliquer qu’ils peuvent aimer leur famille, mais que c’est pas pour autant qu’elle les a mis sur le bon chemin, c’est parfois impossible à entendre”
Fehmi ben Redjeb, éducateur au centre éducatif renforcé de L’Étang-Vergy

 

Face aux attitudes de rejet répétées, les éducateurs ont peu de ressources. Les parents jouent souvent sur les peurs de l’adolescent pour les guider vers une attitude valorisée : qu’est-ce que tu vas devenir si tu ne travailles pas à l’école ? Si tu continues de le fréquenter, tu vas avoir des ennuis, etc. « En général, ils sont persuadés d’être bons à rien, donc activer la peur est sans effets. Ils sont aussi très pollués par une certaine culture du rap : la violence, l’argent facile, le je-m’en-foutisme », enchaîne Fehmi ben Redjeb, désabusé. Une partie des gains de la délinquance aide même parfois la famille, ce qui rend le renversement des valeurs encore plus compliqué. « Dès qu’on touche à leur famille, c’est sensible. Notre seule posture d’éducateur peut les agresser. Obéir, c’est à leurs yeux trahir leur noyau familial. Et le conflit de loyauté arrive vite : lui va vouloir épicer la marmite collective comme à la maison sans rien vouloir entendre. Je lui dis non, et le ton monte tout de suite. Alors, leur expliquer ensuite qu’ils peuvent aimer leur famille, mais que c’est pas pour autant qu’elle les a mis sur le bon chemin, c’est parfois impossible à entendre. »

 

La parenthèse et la trace

Le CER n’est qu’une courte parenthèse. Sans accompagnement après la sortie des mineurs, qui, pour plus de la moitié d’entre eux, repartent dans leur famille, selon la Convention nationale des associations de protection de l’enfant, l’équipe a bien conscience qu’elle ne peut pas faire des miracles. Najid Ghorzi est lucide : « Après la sortie, tout ce que nous leur avons transmis ne tient pas dans la plupart des cas. Ils reviennent chez eux, revoient les mêmes personnes, perdent très vite le rythme de vie qu’ils avaient ici et replongent dans les mauvaises habitudes. » Difficile de se donner d’autres normes à un âge où on se sent rarement responsable. « En dehors de leurs bêtises, on a toujours décidé pour eux jusque-là. »

© Arnaud Finistre pour PM
Les activités collectives alternent avec des moments de solitude sans connexion ni écrans, propices à la réflexion. © Arnaud Finistre pour PM

Abdoulail est un peu moins taiseux et a au moins appris à contrôler ses crises de colère. Son éducateur référent trouve même qu’il a fait d’« énormes progrès ». Et s’il replonge dans la délinquance, Najid Ghorzi se dit qu’il gardera quand même l’empreinte d’une expérience où il n’a pas cédé à la violence. « On ne peut pas changer une vie en quelques mois. Mais il reste des traces. Quand vous avez fait l’expérience de pouvoir obtenir plus sûrement gain de cause par le dialogue que par la menace, c’est déjà beaucoup. Peut-être qu’ils se souviendront un jour qu’ils ont été capables de bosser, d’avoir de la reconnaissance, de faire confiance. Et là, ils auront peut-être un déclic. »

Sous ses dehors taquins, Haraël a le don de dire à l’équipe du CER ce qu’ils veulent entendre. Malgré tout, ici, il semble avoir acquis une compréhension plus élargie du monde et de lui-même. « Je pensais pas que je pouvais traumatiser des gens en leur piquant juste du matériel, je me posais pas la question avant. » Après sa sortie, l’adolescent souhaiterait devenir apprenti dans l’agriculture dans la région de Dijon, non loin d’ici. « J’aimerais avoir la force de ne pas retourner en Normandie. Je sais que là-bas, de nouveau, ça tournera mal. »

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