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Michael Schur. © Marlene Holston

En librairie

En librairie : Michael Schur nous explique “Comment être parfait” (ou presque)

Michael Schur publié le 20 octobre 2022 10 min

Attention, événement ! Philosophie magazine Éditeur publie Comment être parfait, le premier livre de Michael Schur, créateur de The Good Place et Parks and Recreation et entre autres co-scénariste de la version américaine de la série « culte » The Office.

Comment être parfait : un essai vibrant et très drôle sur l’éthique, où l’auteur revient également sur son parcours télévisé. Désormais disponible en prévente sur notre boutique en ligne, et en librairie le jeudi 27 octobre.

 

« Aujourd’hui, vous avez décidé d’être quelqu’un de bien.

Vous ne savez pas pourquoi – vous vous êtes simplement réveillé ce matin plein d’entrain, de vigueur et d’optimisme, et bien que ce monde semble souvent tout faire pour vous déprimer, vous avez sauté du lit avec l’envie d’être un peu meilleur aujourd’hui que vous ne l’étiez hier. Ça ne doit pas être bien dur, non ? Il suffit de quelques changements dans votre façon de vivre. Vous sortez, vous voyez un gobelet en plastique par terre dans la rue, vous le ramassez et le mettez à la poubelle. Quelle agréable sensation ! Hier, vous auriez ignoré ce détritus et continué votre chemin, mais pas aujourd’hui.

À partir de maintenant, vous serez meilleur. À l’épicerie, vous payez un peu plus cher pour avoir des oeufs de poule et du lait de vaches élevées en plein air, traitées avec humanité. Vous souriez en imaginant des vaches bienheureuses qui paissent de la bonne herbe naturelle au lieu d’être enfermées dans une atroce ferme-usine. Vous vous rappelez ensuite avoir lu un article qui déplorait l’impact du boeuf industriel sur le changement climatique, alors vous laissez les steaks en rayon et choisissez des pâtes aux légumes. Les vaches sont encore plus heureuses ! Elles ne sont pas mortes !

Décidément, vous vous sentez merveilleusement bien. Le Nouveau Vous est formidable.

Vous faites un grand jogging dans le quartier (pour votre santé !), aidez une vieille dame à traverser la rue (par gentillesse !), regardez un documentaire (pour la connaissance !), lisez les informations (par esprit citoyen !) et allez vous coucher. Quelle belle journée. Mais au moment de vous coucher, vous fixez le plafond. Quelque chose vous titille. Quel “bien” avez-vous accompli ? Vous avez l’impression que vous avez fait de bonnes actions, mais vous pensiez aussi que c’était une bonne idée de mettre un chapeau avec un imprimé zèbre à la fête de l’entreprise l’année dernière, et chacun sait comment ça s’est fini.

Maintenant, imaginez que vous puissiez convoquer une sorte de Comptable du Bien Universel pour qu’il vous fasse un rapport omniscient, mathématique, du résultat auquel vous avez abouti. Après avoir évalué acte par acte votre journée et fait les comptes grâce à sa Calculatrice à Bien Universel, le Comptable vous annonce de mauvaises nouvelles. Ce gobelet en plastique que vous avez mis à la poubelle ? Il finira dans l’océan et rejoindra l’île de plastique de la taille du Texas qui menace la vie marine dans le Pacifique. (Vous avez lu un article sur ce sujet avant d’aller vous coucher, mais vous pensiez n’avoir rien à voir avec ça.) Les pâtes aux légumes ont été expédiées dans votre magasin de quartier depuis un entrepôt lointain, si bien que leur empreinte carbone est massive, et les vaches que vous imaginiez libres sont en réalité parquées dans une ferme-usine, parce que la définition légale de “nourri à l’herbe” est honteusement large, les lois étant rédigées par les lobbyistes de l’agriculture. Les vaches ne sont pas heureuses ; elles sont tristes.

Mais il y a pire : les tennis que vous portiez lors de votre jogging sont fabriquées dans une usine où les ouvriers sont payés 4 centimes de l’heure. L’auteur du documentaire que vous avez regardé est un pervers qui aime renifler les cheveux des inconnues dans le métro – bravo pour votre coup de pouce financier – et le service de streaming sur lequel vous l’avez regardé fait partie d’un conglomérat international qui fabrique aussi des drones tueurs pour l’armée nord-coréenne. Oh, et la vieille dame que vous avez aidée à traverser est une collectionneuse d’objets nazis. “Mais elle avait l’air si gentille”, dites-vous. Eh non, c’est une nazie ! D’ailleurs, elle sortait acheter des trucs de nazis quand vous l’avez aidée.

Voilà le bilan. Pas de quoi être fier. Vous vouliez faire le bien, à votre petite échelle, et le monde vous a mis une gifle. Bien sûr, vous êtes en colère. Vous aviez de bonnes intentions, vous avez fait des efforts. Est-ce que ça ne devrait pas compter au moins un peu ? Alors vous vous découragez. Vous ne pouvez pas vous permettre de faire beaucoup plus que ces petits gestes, vous n’êtes pas un de ces milliardaires capables de monter une fondation planétaire, et avec tout ce qui vous occupe déjà au quotidien, comment auriez-vous le temps, l’argent et l’énergie pour réfléchir à l’éthique ?

En bref : être bon est impossible. Inutile donc d’essayer. Autant manger des hamburgers bourrés d’hormones, jeter nos poubelles directement dans l’océan et renoncer.L’expérience était amusante. Et maintenant ?

La plupart des gens pensent qu’ils sont “bons” et aiment être perçus comme tels. En conséquence, la plupart d’entre eux (s’ils ont le choix) préféreront faire une chose “bonne” que “mauvaise”. Mais il n’est pas toujours facile de déterminer ce qui est bon ou mauvais dans ce monde confus et tordu comme un bretzel, plein de choix compliqués, de pièges, de chausse-trappes et de mauvais conseils d’amis soi-disant fiables comme cette idiote de Wendy, celle qui vous a dit que le chapeau était “moche mais mignon-moche” et vous a convaincu de l’acheter.

Et même si vous arriviez à naviguer dans le champ de mines qu’est la vie moderne en étant “quelqu’un de bien”, vous n’êtes qu’un seul individu ! Notre planète en porte huit milliards, et beaucoup d’entre eux semblent se ficher complètement d’être des gens bien. Il y a les hommes politiques corrompus, les patrons fourbes, les gens qui ne ramassent pas les crottes de leur chien sur le trottoir, les horribles dictateurs et cette idiote de Wendy (est-ce qu’elle prend son pied à vous ridiculiser ?), de sorte qu’il est difficile de ne pas se demander si une personne “bien” a le moindre intérêt. Ou, pour reprendre les mots que j’utilisais quand j’ai commencé à lire de la philosophie morale et à réfléchir à ce foutoir insensé et inextricable qu’est notre monde :

Qu’est-ce que je suis censé faire ?

Cette question – comment vivre une vie éthique ? – tourmente les hommes depuis des milliers d’années, mais il n’a jamais été plus dur d’y répondre qu’aujourd’hui, à cause des défis petits et grands qui envahissent notre vie quotidienne et menacent de nous noyer sous une masse de décisions impossibles aux conséquences imprévisibles. En plus, se rapprocher d’une “vie éthique” implique une introspection quotidienne, et c’est du travail ; il faut se demander comment être bon non pas une fois par mois, mais littéralement tout le temps. Pour rendre tout cela moins écrasant, ce livre se fixe comme objectif de réduire tout ce bourbier déconcertant à quatre questions simples à se poser chaque fois que nous nous trouvons face à un dilemme éthique, petit ou grand :

  • Que faisons-nous ?
  • Pourquoi le faisons-nous ?
  • Pourrions-nous faire autrement et mieux ?
  • En quoi est-ce mieux ?

La quête de réponse à ces quatre questions résume la philosophie morale et l’éthique. Et si le Comptable du Bien Universel avait de mauvaises nouvelles pour nous, en voici de bonnes : les philosophes réfléchissent à ces questions depuis très longtemps. Ils ont des réponses pour nous ; ou, du moins, ils ont des idées qui peuvent nous aider à formuler nos propres réponses. Pour peu qu’on sache dépasser la prose atrocement dense de nombreux philosophes, dont la lecture donne immédiatement mal à la tête, nous pourrons peut-être nous armer de leurs théories, les utiliser quand nous avons des décisions à prendre, et être un peu meilleurs aujourd’hui que nous ne l’étions hier.

J’ai commencé à m’intéresser à la philosophie morale lorsque j’ai voulu créer une série télé qui s’appelle The Good Place. Si vous l’avez vue, vous reconnaîtrez nombre d’idées dans ce livre, parce que nous les avons déjà explorées dans la série. Et si vous ne l’avez pas vue, (A) sachez que je me sens insulté, (B) je plaisante, (C) ne vous inquiétez pas ! Parce que tout l’objectif de ce livre est de vous entraîner dans le voyage que j’ai fait, du type qui ne savait quasiment rien sur le sujet jusqu’à celui capable d’écrire un livre dessus (ou, en tout cas, de convaincre un éditeur que j’en étais capable).

Je suis tombé amoureux de l’éthique pour une raison simple : presque tout ce que nous faisons a une composante éthique, que nous nous en rendions compte ou non. Ce qui signifie que nous nous devons à nous-mêmes de comprendre ce qu’est l’éthique et comment elle fonctionne, ne serait-ce que pour ne pas tout foirer en permanence. Nous partageons cette planète avec d’autres gens. Nos actions les affectent. Si nous nous soucions un peu d’eux, nous devons chercher à comprendre comment prendre les meilleures décisions possibles.

Une autre chose que j’adore dans l’éthique, c’est qu’elle est gratuite ! Vous n’avez pas besoin d’un diplôme pour être éthique, et il n’y a pas d’abonnement mensuel pour prendre de bonnes décisions. Représentez-vous le monde comme un musée et les règles éthiques comme les guides bénévoles de ce musée, debout en silence les mains dans le dos. Nous déambulons dans ce musée en regardant des tableaux (dans cette métaphore : des situations confuses sur le plan moral), nous en comprenons certains, d’autres non, parce qu’ils sont flous, abstraits, déroutants. Et quand nous voyons quelque chose que nous avons du mal à interpréter, il suffit de demander à la gentille dame avec les mains dans le dos ce que nous regardons et ce que cela signifie, et elle nous le dira gratuitement !

Bien sûr, on peut se contenter de hocher la tête d’un air entendu et faire semblant d’avoir compris – une tradition qui a ses adeptes, à la fois dans les musées et dans la vie –, mais il y aura des choses encore plus déroutantes dans la salle d’à côté, donc autant essayer de tirer du sens de ce qu’on a sous les yeux à cet instant.

Avant de commencer, j’ai une autre bonne nouvelle. Le seul fait de se confronter à ces idées et de se poser ces questions indique que nous avons déjà franchi une étape cruciale : nous avons décidé de nous soucier de savoir si ce que nous faisons est bon ou mauvais. Ce qui signifie : nous avons décidé d’essayer d’être meilleurs.Ce n’est déjà pas une mince affaire.

Un rapide regard autour de nous, et nous voyons des tas de gens qui n’en ont rien à faire de l’éthique. Ils n’essayent même pas. Je ne leur en veux pas tellement, à titre personnel, parce que tenter d’être un agent moral décent dans l’univers – une façon sophistiquée de dire : “quelqu’un qui essaye de faire ce qui est bien” – nous condamne à l’échec. Même en faisant notre maximum, nous échouerons. Tout le temps. Nous prendrons une décision en pensant qu’elle est juste et bonne, et nous nous apercevrons qu’elle était mauvaise. Nous ferons quelque chose en pensant que cela n’affectera personne, et nous nous apercevrons du contraire, et il faudra s’accommoder des conséquences. Nous heurterons les sentiments de nos amis, nous ferons du mal à l’environnement, nous soutiendrons des entreprises nuisibles, nous aiderons même accidentellement une vieille nazie à traverser la rue. Nous échouerons, encore, encore et encore.

À ce jeu auquel nous participons chaque jour, que nous le voulions ou non, l’échec est garanti – même obtenir un résultat tout juste passable semble souvent hors d’atteinte. Si bien que se soucier de ce que nous faisons – c’est-à-dire, en d’autres termes plus modernes, ne pas se foutre de tout – peut sembler inutile. Mais cet échec a plus de sens et il a plus de valeur potentielle quand nous sommes attentifs à ce que nous faisons. Parce qu’en se souciant d’éthique, nous voulons aussi comprendre pourquoi nous avons échoué, ce qui nous donne davantage de chances de réussir à l’avenir. L’échec fait mal, il est embarrassant, mais c’est aussi comme cela que nous apprenons – cela s’appelle procéder par “essais et erreurs”, on ne peut pas faire un seul essai, avoir tout bon du premier coup, et plus besoin d’y revenir.

Et puis, quoi ? Quelle est l’alternative ? Ignorer superbement les questions que soulève notre comportement ? Ne pas trop se casser la tête pour des questions morales ? Je ne crois pas que ce soit souhaitable. S’il y a une chose à laquelle nous devons nous intéresser dans cette vie, c’est de savoir si ce que nous faisons est bon ou mauvais. (Plus tard, nous parlerons d’un groupe de Français lugubres qui pensaient que Dieu n’existe pas et que nous sommes des poussières de néant flottant dans l’espace sur un gros rocher inerte – eh bien, même eux refusaient de jeter l’éthique par-dessus bord.)

Ce livre est le récit de mon exploration de la philosophie morale, mais il sera aussi question d’accepter l’échec – voire de l’accueillir – parce que c’est le corollaire des efforts que nous faisons pour essayer, apprendre et nous améliorer. Nous nous demanderons donc quoi faire dans certaines situations, et nous tenterons d’y répondre grâce à des idées qui pour certaines ont 2 400 ans, et pour d’autres ont été proposées quasiment hier.

Nous commencerons par des choses faciles, histoire d’introduire ces idées – ce qu’elles disent, ce qu’elles nous posent comme questions, comment elles prétendent faire de nous des gens meilleurs si nous nous en emparons. Puis nous accélérerons et appliquerons ce que nous aurons appris à des problèmes plus complexes, pour lesquels nous devrons faire appel à de nouvelles idées. Et à la fin de ce livre, nous saurons exactement quoi faire dans toutes les situations possibles et imaginables afin de produire de manière fiable et à tout instant un maximum de bien moral.

Alors nous serons parfaits. Les gens nous regarderont avec un mélange de crainte et d’admiration. Nos amis seront jaloux.

Je plaisante : nous continuerons à échouer tout le temps. Mais, je l’ai dit, ce n’est pas grave ! Alors, commençons à échouer. Ou, pour reprendre les mots de Samuel Beckett : “Essayer encore. Rater encore. Rater mieux.” »

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