Quand on aime, on ne compte pas ?
Dans ce grand supermarché de l’amour que sont les applications du type Tinder, on affine ses critères de sélection et on soupèse ses options sentimentales au fil de l’algorithme. Les applications de rencontre auraient-elles substitué au coup de foudre un calcul coûts-avantages ? L’amour, l’acte comme le sentiment, n’est-il pas le lieu qui résiste par nature au calcul rationnel ?
Dans le nouveau numéro de Philosophie magazine, paru ce jeudi, Cédric Enjalbert mène l’enquête, avec le philosophe François De Smet, la sociologue Eva Illouz et l’écrivain Arthur Dreyfus.
À l’heure de #MeToo et Tinder, y a-t-il encore place pour le grand amour ? Pour la sociologue Eva Illouz, qui publie La Fin de l’amour (trad. S…
Nous aimons croire qu'en amour comme en amitié, il n’y a pas de place pour le calcul. Mais pour les sociologues et les économistes, nous…
Les codes de la séduction ont évolué depuis les carnets de bal et les billets doux. Désormais, les plateformes virtuelles comme Tinder ont pris le…
La sociologue Eva Illouz, qui vient de faire paraître Les Émotions contre la démocratie (Premier Parallèle), montre comment les expériences…
La sociologue Eva Illouz a choisi de s’intéresser à nos émotions autrement qu’en termes psychologiques et philosophiques. Et démontre comment le…
Les amants seraient-ils plus heureux s’ils pouvaient vivre leur histoire en toute intimité ? Eva Illouz soutient que la proximité amoureuse et sexuelle avec l’autre n’est tenable que si elle reste ouverte sur l’extérieur.
Nous ne pouvons rien comprendre aux questions de harcèlement et de violences sexuelles si nous n’analysons pas la grande révolution des années…
Décalogue 6, “Tu ne seras pas luxurieux” vu par Eva Illouz.