Jeu
Rabat-joie ou ludions, les philosophes ?
Aristote (384-322 av. J.-C.)
Le jeu n’est pas sérieux. Il n’est pas un acte ni une fin désirable en soi, mais un simple délassement, une détente plaisante « en vue de l’activité ». Selon le penseur grec, « il serait en effet étrange que la fin de l’homme fût le jeu, et qu’on dût se donner du tracas et du mal pendant toute sa vie afin de pouvoir s’amuser ».
G. W. Leibniz (1646-1716)
Contrairement à ce que son nom l’indique, « revivre » ce n’est pas vivre deux fois la même chose. L’expérience nous le prouvera sûrement…
André Comte-Sponville donne un éclairage sur le fameux fragment des “Pensées” de Pascal sur le “divertissement”.
N’avez-vous jamais remarqué que souvent, les gens très ordonnés, voire maniaques, abritent en eux-mêmes de véritables tempêtes de passions et d’idées contradictoires ? Et qu’inversement, ceux qui s’accommodent volontiers d’une dose de désordre,…
Natif de Tel-Aviv, il se voyait basketteur jusqu’à ce qu’un accident au genou, la rencontre du professeur Opher Brayer – pour qui la musique commence par la philosophie et les mathématiques – et un avion raté à Paris, où il vit aujourd…
Martin Legros consacrera sa séance à « Rousseau et la différence entre l’homme et l’animal ».
Dans le dernier texte pour la presse qu'il nous a adressé mi-mai, Michel Serres nous entretient de Pascal et Leibniz. Inventeurs des algorithmes,…
Marqué par les conflits qui hantent nos mémoires, l’écrivain philosophe Jérôme Ferrari interroge dans ses romans la question du mal. Cette obsession est nourrie par la lecture de Leibniz qu’il considère comme le premier penseur à y…