Ailleurs et autrement

Une recension de Cédric Enjalbert, publié le

« L'increvable soleil de la médiocrité n'a pas fini de fasciner. » Sadienne ayant frayé avec les surréalistes, la poétesse Annie Le Brun fustige, dans ces chroniques de la Quinzaine littéraire, une époque rongée par un « réalisme sordide » et surtout le postmodernisme, « entreprise au cours de laquelle le ressentiment de la raison à l’égard de ce qui lui échappe aura atteint un apogée ». Qu’elle attaque le « détroussement esthétique façon Beaubourg » livrant dans ses expositions « le surréalisme domestiqué », ou qu’elle loue la force de textes érotiques rares, elle s’acharne à mettre au jour un « noir plus noir que noirceurs, obscurités et ténèbres réunies ».

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