Delphine de Vigan. À la loyale
Son écriture ? Des phrases rapides et justes, pour cerner au plus près les fêlures de ses personnages. Ce ton, dans Rien ne s’oppose à la nuit et “D’après une histoire vraie” (prix Renaudot 2015), lui vaut un large succès et des traductions dans le monde entier. Delphine de Vigan revient avec “Les Loyautés” (Jean-Claude Lattès), un beau roman dans lequel ses héros donnent l’impression d’être ivres tout en s’efforçant de marcher le long d’une ligne droite. Elle est l’invitée du Livre sur la Place, à Nancy, du 7 au 9 septembre 2018.
Où étiez-vous avant votre naissance ?
J’aime bien penser que nous étions – et redeviendrons – des ondes.
Un dieu, un maître ?
En dépit de tout, je continue de croire à une forme d’humanisme.
Ce que vous retenez de votre éducation ?
Une sensibilité exacerbée à l’humeur d’autrui.
Le combat dont vous êtes le plus fière ?
Tenter de contribuer à « déstigmatiser » la maladie mentale. Notamment à travers mon engagement dans l’association Clubhouse France.
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