“Au comptoir” avec… Judith Butler
Vous les connaissez par cœur, mais l’auteur, voire le sens vous échappent parfois : « Je pense donc je suis », « Carpe diem », « On ne se baigne jamais deux fois dans le même fleuve », « Tout ce qui ne me tue pas me rend plus fort »… Autant de citations en forme de tarte à la crème plus ou moins célèbre dont François Morel et Victorine de Oliveira se sont emparés afin de leur rendre leur saveur philosophique… et comique.
Au comptoir des philosophes, publié par Philosophie magazine Éditeur, vous invite à la table de Nietzsche, Weil, Descartes, Alain, Horace et Butler, entre autres, afin de trinquer à la santé des bons mots et des idées bien placées. Et toute cette semaine, Philosophie magazine paye sa tournée en publiant une citation, sa reformulation par François Morel, et son éclairage philosophique.
Aujourd’hui : quand vos galipettes intéressent les gender studies.
Judith Butler, féministe engagée, est la théoricienne des études sur le genre (gender studies). Les débats sur le Pacs, le mariage homosexuel, l’homoparentalité ont révélé l’acuité de son approche. Pour la philosophe américaine, si des…
La politique est-elle à l’image du mythe de Sisyphe, un éternel, douloureux et vain recommencement ? C’est ce qu’a suggéré Jean-Luc Mélenchon…
“Il y a une personne derrière ce livre”, écrit Judith Butler dans son introduction à la seconde édition de “Trouble dans le genre”.
Elle a initié les gender studies qui ont bouleversé notre compréhension de l’identité sexuelle. Féministe, cette professeure à Berkeley est une…
Judith Butler, féministe et engagée, excelle à déconstruire les normes du « genre ». Dans ses livres où la théorie acquiert une portée éminemment politique, elle plaide pour une société où les minorités, quel que soit leur choix sexuel,…
Judith Butler se penche sur le conflit israélo-palestinien dans son dernier opus Vers la cohabitation et propose de « renouer, politiquement, avec…
La citation corrigée par François Morel.
Le comique voyage de façon imprévisible. Il y a quelques années, j’emmène mon fils âgé de 10 ans voir un film des Marx Brothers : seuls les quadragénaires hurlent de rire, sous l’œil perplexe des enfants. Deux ans plus tard, je suis…