“Philosophie magazine” se réinvente : derniers jours pour nous soutenir !
Depuis quelques années, la presse écrite fait face à des difficultés croissantes : crise du kiosque, concurrence des réseaux sociaux, explosion des prix du papier... Chez Philosophie magazine, nous ne voulons pas nous y résoudre, étant convaincus qu’une presse indépendante, curieuse et exigeante doit être défendue. C’est pourquoi nous allons de l’avant et travaillons depuis plusieurs mois sur une nouvelle formule, repensée pour être plus lisible, esthétique et proche de vous !
Pour donner toutes ses chances à ce nouveau départ, nous lançons une campagne de crowdfunding (financement participatif) sur la plateforme Ulule. Philosophie magazine ne peut se faire sans vous : soutenez-nous ! Vous avez jusqu'au mercredi 25 octobre à 23h59 pour participer.
Alors que ses chances de survie étaient quasi inexistantes, Susan Sontag, romancière américaine, a exigé la poursuite de traitements douloureux et refusé d’envisager une « bonne mort ». Son fils, David Rieff, essayiste et journaliste,…
Gagnez des places pour deux conférences au Théâtre de l’Œuvre à Marseille le 20 octobre à 20H : « Machiavel en Ukraine » et «…
La nouvelle formule de Philosophie magazine sera en kiosque jeudi 26 octobre ! Charles Pépin, philosophe et écrivain, vous présente la nouvelle chronique…
Au XIXe siècle, la notion de race fait l’objet de vives controverses. Arthur de Gobineau est l’un des premiers à soutenir que la race possède…
Il est parfois difficile de soutenir le regard, même amical, de nos semblables. D’où vient l’inquiétante étrangeté des prunelles ?
Pour la philosophe Élisabeth de Fontenay, il est possible de soutenir une analogie entre la mise à mort industrielle des bêtes et les camps d’extermination, à condition de reconnaître au préalable “un caractère de singularité à la…
En soutenant qu’ils ne mentent pas mais proposent simplement des “faits alternatifs”, le président américain et ses conseillers empruntent…
Si notre politique au Moyen-Orient est devenue illisible, c’est parce que l’Occident est enfermé dans un choix terrible : laisser la situation empirer ou soutenir les ennemis d’hier.